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Je Baise Ma Mere Quand Elle Dormait



Xxx Je Baise Ma Mere De Force Quand Papa Dort Ma belle-mère m'espionne pendant que je regarde du porno et je me masturbe: je me masturbe quand ma belle-mère très chaude entre et veut que je la baise fort avant que mon père n'arrive, elle dit que je le mets mieux




Je Baise Ma Mere Quand Elle Dormait




D'habitude, j'entre dans la chambre de ma mère sans frapper parce que nous avons toujours été très confiants, mais cette fois-ci, c'était différent parce que lorsque je suis entré, ma mère était nue et endormie. D'habitude, je ne la regarde pas beaucoup quand elle est nue, mais aujourd'hui, j'ai eu l'occasion parfaite, car elle dormait et ne pouvait pas me voir. J'ai détaillé son corps, ses seins, ses fesses... Je n'avais jamais réalisé auparavant que ma mère est une belle femme, et qu'elle est aussi une petite salope sexy, car il y a longtemps, je l'ai entendue parler à ses amies de son besoin de sexe. C'est peut-être un signe pour donner à ma mère ce qu'elle veut, et regarde ce que j'ai fait avec mon doigt.


Mais, l'époque de la communion approchant, Madame éprouva un grand embarras. Elle n'avait point de sous-maîtresse, et ne se souciait nullement de laisser sa maison, même pendant un jour. Toutes les rivalités entre les dames d'en haut et celles d'en bas éclateraient infailliblement; puis Frédéric se griserait sans doute, et quand il était gris, il assommait les gens pour un oui ou pour un non. Enfin elle se décida à emmener tout son monde, sauf le garçon à qui elle donna sa liberté jusqu'au surlendemain.


Rosa s'en mêla, et, se penchant par-dessus les jambes de son voisin, elle embrassa les trois bêtes sur le nez. Aussitôt chaque femme voulut les baiser à son tour; et le monsieur asseyait ces dames sur ses genoux, les faisait sauter, les pinçait; tout à coup il les tutoya.


Lorsque rentra la petite fille, ce fut sur elle une pluie de baisers; toutes les femmes la voulaient caresser, avec ce besoin d'expansion tendre, cette habitude professionnelle de chatteries, qui, dans le wagon, les avait fait toutes embrasser les canards. Chacune l'assit sur ses genoux, mania ses fins cheveux blonds, la serra dans ses bras en des élans d'affection véhémente et spontanée. L'enfant bien sage, toute pénétrée de piété, comme fermée par l'absolution, se laissait faire, patiente et recueillie.


Sitôt qu'elles furent en leur lit, deux par deux, elles s'étreignirent comme pour se défendre contre cet envahissement du calme et profond sommeil de la terre. Mais Rosa la Rosse, seule en son cabinet noir, et peu habituée à dormir les bras vides, se sentit saisie par une émotion vague et pénible. Elle se retournait sur sa couche, ne pouvant obtenir le sommeil, quand elle entendit, derrière la cloison de bois contre sa tête, de faibles sanglots comme ceux d'un enfant qui pleure. Effrayée, elle appela faiblement, et une petite voix entrecoupée lui répondit. C'était la fillette qui, couchant toujours dans la chambre de sa mère, avait peur en sa soupente étroite.


C'est alors que Rosa, le front dans ses mains, se rappela tout à coup sa mère, l'église de son village, sa première communion. Elle se crut revenue à ce jour-là, quand elle était si petite, toute noyée en sa robe blanche, et elle se mit à pleurer. Elle pleura doucement d'abord: les larmes lentes sortaient de ses paupières, puis, avec ses souvenirs, son émotion grandit, et, le cou gonflé, la poitrine battante, elle sanglota. Elle avait tiré son mouchoir, s'essuyait les yeux, se tamponnait le nez et la bouche pour ne point crier: ce fut en vain; une espèce de râle sortit de sa gorge, et deux autres soupirs profonds, déchirants, lui répondirent; car ses deux voisines, abattues près d'elle, Louise et Flora étreintes des mêmes souvenances lointaines gémissaient aussi avec des torrents de larmes.


Il acheva de donner la communion avec une telle surexcitation de foi que ses jambes défaillaient sous lui, et quand lui même eut bu le sang de son Seigneur, il s'abîma dans un acte de remerciement éperdu.


Le menuisier faisait tous ses efforts pour détourner l'attention et garder son monde jusqu'au lendemain; mais Madame ne se laissait point distraire; et elle ne plaisantait jamais quand il s'agissait des affaires.


Le taxi qui les amenait de la gare était passé juste à côté d'un port hérissé de mâts, et au-delà, la mer bouillonnait, immense, la crête des vagues mouchetée d'écume. Ensuite, ils s'étaient dirigés vers une zone résidentielle aux rues plantées d'ormes où s'alignaient les imposantes bâtisses victoriennes dont Effie lui avait parlé: façades de couleurs vives, pignons et pigeonniers surmontés de toitures d'ardoise, belvédères aux balustrades en fer forgé, galeries aux finitions en bois ouvragées, tonnelles ouvrant sur les trottoirs, chrysanthèmes en fleur. Dans New Hampshire Avenue, les constructions paraissaient plus ordinaires, des pavillons de plain-pied ou à un étage qui n'auraient pas semblé déplacés à Signal Creek, mis à part les couleurs. La maison de Tante Lizzie n'échappait pas à la règle: rose pâle, un seul étage, et au rez-de-chaussée, une vaste véranda en façade qui dominait un jardin de fleurs déjà fanées. C'était décevant. Mais quand il descendit du taxi et entendit le rugissement sourd et grave de l'océan quelques rues plus loin, il lui sembla que la vraie vie venait de commencer, et que toutes les portes s'ouvraient devant lui. Il souleva Effie dans ses bras, qui cria et rit de plaisir, et il lui fit passer le seuil comme il se doit. 2ff7e9595c


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